Motorstorm : le Test!!!

La PS3 fraichement branchée, je me suis empressé d’introduire le DVD de Motorstorm dans le lecteur (qui est d’ailleurs un lecteur qui « avale » le CD à la manière d’un autoradio). Une introduction, à la manière d’un générique de film, s’amorçe. Une vue aérienne sur un Monument Valley virtuel, une voix rauque commente la scène, introduit le festival Motorstorm, courses endiablées de buggys, motos, quads, camions, etc.. dans la boue et la poussière. Une musique rock nous amène sur le menu qui propose de « jouer » (c’est bon signe), « online » pour jouer en réseau, « bonus » avec des videos sympas du jeu et de son making of, « options » qui permet de regler diverses choses. Je me lance sur « jouer », et j’ai le choix entre divers tickets pour des courses différentes. La première est le parcours de base avec le choix du véhicules, les deux autres sont des courses spécifiques à un véhicule particuler (camionnette ou 4×4).

 

Je me lance donc sur le parcours de base en choisissant le buggy. Pour ce véhicule, j’ai le choix entre deux types qui arrivent sur un monticule. Ensuite, je peux choisir la couleur et le pilote. Superflu mais amusant. Et voilà, après un chargement (un peu long) j’arrive sur la ligne d’arrivée. Une vue aérienne sur les concurrents et les gradins et le compte à rebours commence. En voiture! On a le choix entre une vue de derrière et une vue du devant de la voiture mais pas de vue intérieure (dommage). La deuxième est plus immersive mais pas forcément plus confortable. L’accélération se fait avec la gachette droite, le frein (pour quoi faire?) avec la gachette gauche, et la direction avec le pad directionnel gauche. Il est possible d’utiliser la fonction sixaxis à détecteur de mouvement mais là je vous assure qu’il y a un sérieux apprentissage à faire… Je me contente donc du pad habituel. La course se lance, je m’aperçois que la touche X offre un boost (dont il ne faut pas abuser pour cause d’explosion du moteur…). Les concurrents sont féroces, les motos filent à toutes allures en tête, les camions plus lents, jouent des coudes. Premier accorchage, premier accident. Ma voiture explose contre un rocher : dans un ralenti bien fichu, mon buggy se pulvérise en mille morceaux. Tout est très bien modélisé. Rien à dire.

 

Je continue ma course et me rend compte que divers chemins me sont proposés : en bas dans la boue pour les engins lourds, en haut sur des corniches et des tremplins pour les engins légers. Dans le feu de l’action et pour un premier tour, difficile de choisir, on se laisse quelque peu guider par les hasards de la conduite. Après quelques courses ponctuées d’une musique rock entrainante, j’arrive à finir dans les deux premiers (permettant la qualification pour la suite). Une autre course pour un circuit différent montre l’étendue des qualités graphiques du jeu, des paysages époustouflants, une profondeur de champs jamais vue. Je termine ma séance par une course à moto : il n’y a pas photo, chaque véhicule a ses propres caractéristiques de conduite et il faut s’y faire..

 

 

Voici deux liens vers deux videos ingame. Soyez indulgents pour ces premiers tours de circuits 😉