
La Abyx Fit Touch 3 est une montre connecté abordable dispo à moins de 50€ actuellement. Mais quand elle sort en édition « Naruto » (pour le même prix) ça nous parle encore plus!
Utile au quotidien pour différentes tâches habituelles (agenda, notifications, météo, jeux, etc..) mais aussi pour la pratique sportive, cette Abyx Fit Touch 3 a de sérieux atouts. Déjà elle est de belle qualité quand on l’a autour du poignée on sent la souplesse, la solidité et la légèreté. Elle est très agréable à porter.

Le design global de la montre reste sobre et simpliste, comme la majorité des montres de ce type. Bien sûr, on profite ici du design de l’univers de Naruto avec 4 persos disponibles à l’achat. Notre version test présente le personnage de Sasuke et on trouve dans la boite 2 bracelets différents et ça c’est cool. Concernant le fond d’écran, on pourra en trouver plusieurs dans les réglages.
Son écran de 1,45 pouces propose une résolution de 172×320 px avec une belle luminosité. On trouve un unique bouton (molette) sur le côté. Ensuite, tout se fait de manière tactile et on trouve beaucoup d’applications intégrées et de paramétrages possibles.






La montre propose une autonomie de 15 jours et une recharge par câble magnétique en 2/3 heures. Elle se synchronise via Android (mais aussi iOS) avec l’application Abyx Fit Touch.
Pour la pratique sportive c’est pas moins de 123 différents qui sont proposés de la course à pied à la natation en passant par le cyclisme. Notez que la montre utilisera le GPS de votre smartphone. Elle dispose aussi de capteurs avancés (fréquence cardiaque, tension artérielle, taux d’oxygène dans le sang…).
N’attendez pas de la Abyx Fit Touch 3 « Naruto » le summum de la montre connectée. Néanmoins, pour moins de 50€, on a une montre complète et fonctionnelle, qui nécessite d’être connectée en Bluetooth avec un smartphone pas loin mais en tous cas les applications proposées sont nombreuses et l’ensemble est fluide et facile à utiliser. Un bon choix pour les plus jeunes peut-être avec cette montre aux couleur de l’un des animés les plus en vogue…
D’ailleurs, sur notre compte X, actuellement, nous vous faisons gagner une de ces montres accompagnée de quelques goodies « Naruto » !!!


J’aime bien les jeux d’horreur et les trucs paranormaux. J’aime bien les énigmes et les atmosphères mystérieuses et oppressantes. Alors quand on m’envoie un trailer et une clé pour un jeu qui semble cocher toutes les cases, je suis content. Go Home Annie est un titre à petit budget, développé par les Croates de Misfit Village. Présenté comme un thriller psychologique à la première personne, Go Home Annie s’inspire directement de la Fondation SCP. Derrière cette dénomination sibylline se cache une œuvre collaborative centrée autour d’une société secrète chargée de contenir les phénomènes paranormaux. Une approche plutôt intéressante qui permet d’ancrer le jeu dans un univers plus large.
Alors, petite pépite indé ou énième walking simulator? C’est ce qu’on va voir.
Si il y a une chose qui est réussie dans Go Home Annie, c’est bien son ambiance. Alors oui, les animations sont un peu rigides. Oui les textures sont un peu fades. D’accord, le rendu global est un peu simpliste. Mais force est de constater que ça marche. Les éclairages et la direction artistique sont suffisamment pertinents pour être immersifs, et c’est ce qu’on attend. Une approche minimaliste, mais efficace.

La base souterraine dans laquelle commence l’aventure est peuplée d’étranges anomalies, confinées pour protéger le monde extérieur. On y croisera par exemple une baignoire schizophrène, une explosion de bananes et un cerf défiguré. L’univers de Go Home Annie va parfois tellement loin qu’il tire plus sur le surréaliste et l’absurde que le fantastique. Un peu comme si un épisode de X-Files était réalisé par David Lynch. Si bien qu’on se demande en permanence ce qu’on fait là. Et ce n’est pas son scénario à base d’amnésie et de filiation foireuse qui va nous apporter des réponses.
Un autre point qui m’a agréablement surpris, c’est la volonté de diversifier le gameplay. Car oui, Go Home Annie surprend. On s’attend dès les premières minutes à arpenter un walking simulator un peu pauvre, à l’image d’un Layers of Fear. Puis on se rend compte qu’il y a des énigmes. On découvre ensuite qu’il faudra régulièrement interagir avec son environnement et des PNJ. Avant de tomber sur une phase d’infiltration et de finir sur un exercice de conduite.

Le titre se veut d’ailleurs relativement dirigiste, mais parvient néanmoins à donner l’impression d’un univers vaste et ouvert. Ce qui est la marque d’un bon level design. On a donc plein de bonnes intentions, louables et correctement exécutées. Ce qui n’empêche pas quelques maladresses.
On pourrait diviser le jeu en deux parties. Une première, sympathique et variée, avec des énigmes un peu coriaces mais pas impossibles. Comprenez par là que je n’ai pas eu à tourner en rond plus de 20 minutes. Il m’a souvent suffit d’arrêter de courir partout et d’observer patiemment les indices offerts par le jeu. On se laisse alors porter par le lore, les PNJ, et l’atmosphère étrange du titre.





Il y a ensuite une seconde partie, beaucoup plus fastidieuse et frustrante, pour ne pas dire décourageante. Comme si le QI nécessaire à la résolution des casse-tête doublait sans raison. Ou si le diable en personne s’était mis à coder. On se retrouve alors à errer dans des couloirs sans fin, à tomber en boucle, sans aucun Game Over. Votre salut ne viendra que de la solution, mais vous allez devoir vous racler le ciboulot. Et ne comptez pas trop sur internet pour vous aider, car certains puzzle sont procéduraux.
Go Home Annie est un titre frustrant. D’abord car sa première partie laisse entrevoir le meilleur. On sent que le potentiel et la volonté sont là malgré quelques maladresses. Ensuite par sa courbe de difficulté incroyablement raide, qui risque d’en décourager plus d’un. Sans compter que sa durée de vie avoisine les 3h, une expérience bien courte pour le prix demandé. Soit une vingtaine d’euros. Plus que jamais, le titre s’adresse aux fans d’énigmes et de puzzles complexes. Ils se réjouiront sûrement devant des casse-tête dignes du premier Myst. Les autres passeront leur chemin et attendront le prochain jeu d’un studio au potentiel indéniable.
Test réalisé par Florian

14 ans après la sortie d’un des meilleurs titres de Rockstar Games et du monde vidéoludique, Red Dead Redemption revient pour une version PC dans sa version ultime.
Plus qu’un TPS ou un GTA dans le monde du western, c’est un véritable hommage aux films des années 50/60, un des meilleurs doublages VO existant et une écriture des personnages dont seul Rockstar Games a le secret. Même si Red Dead Redemption 2 restera le GOAT ultime. Mais ce n’est pas comparable, rappelez-vous, le titre original date de 2010.

Dans cette version, vous allez en avoir pour des heures, le jeu original est accompagné de son extension : Undead Nightmare, une trentaine d’heures en ligne droite, le double si vous décidez de tout explorer. Et une chose étonnante, le gameplay n’a pas vieilli, il est juste moins lent que sa petite soeur.
Pourquoi certains jeux ne vieillissent pas, c’est dû à une certaine avance sur leur temps, et comme dit plus haut, les mécaniques de jeu n’ont pas vieilli du tout, je vous rappelle que le jeu est sorti sur PS3 et Xbox 360 !
Il ne s’agit pas d’une version remasterisée mais d’un portage vraiment efficace qui repose sur les version PS4 et Nintendo Switch. Et ce qui est bluffant ce sont les décors et certains graphismes qui n’ont rien a envier à des jeux sorties plus récemment. Le jeu affiche une résolution en 4K Native sur PC avec 144 images/secondes, il supporte d’autant plus les écrans ultra wide ce qui vous permettra de profiter pleinement des décors du jeu.





La où le titre à vieilli c’est au niveau des visages mais on peut l’excuser avec le temps et on prend l’habitude, il y a une sorte de nostalgie quand on rejoue au titre porté ici par Double Eleven, un studio créé par d’anciens membres de Rockstar Games.
Une gameplay qui n’a pas vieilli en 14 ans
Une durée de vie impressionnante
Jouable aussi bien à la manette qu’au clavier/souris
Des décors (encore) très jolis en 2024
Cher pour un portage (50€)
Quelques bug mineurs
Re-servir un titre datant de 2010 et encore impressionner aujourd’hui est une chose rare. Surtout avec la multitude de hits sortis qui ont redéfini le genre TPS/open world. Même si le jeu a vieilli sur certains aspects, il reste très actuel dans ses mécaniques. Que ce soit votre première aventure ou une rejouabilité, c’est une version à considérer qui aura un autre impact depuis la sortie de RDR2, il est juste un peu cher pour un simple portage en dématérialisé.
Test réalisé par Aurélien

Est-ce qu’il est nécessaire de réaliser une version remasterisée d’un titre datant de 2017 et qui reste très actuel ? C’est la question que l’on s’est posée quand Sony a annoncé la sortie du remaster d’un de ses hits : Horizon Zero Dawn. Vaut-il le coup de dépenser son argent ? Est-ce une bonne surprise ? Mais surtout, à qui est-il destiné ?…
Dans ce test, nous n’allons pas revenir sur l’histoire, on vous donne le lien du TEST du jeu sorti sur PS4 ICI, le but est que vous connaissiez les améliorations mais… le jeu reste identique, pas de nouveautés dans l’histoire, cependant il s’agit de la version ULTIME (Jeu de base + DLC) et si vous aviez le jeu sur PS4, pour avoir sa version sublimée, il faudra seulement payer 10 euros.

Dans Horizon, vous incarnez une jeune femme du nom d’Aloy, une paria dans un mode post-apocalyptique dominé par des animaux/dinosaures mécaniques avec une IA pas forcément sympathique. Aloy va devoir prouver sa valeur et qu’elle a sa place dans ce monde et surtout comprendre son passé.
Même en rejouant au jeu sur PS4, le titre était magnifique, ici, il y a un réel ajout et c’est au niveau de sa suite : Forbidden West. Il n’y aura pas de différences entre la version PS5 / PS5 Pro et sa suite. Les animations sont naturelles, les couleurs sont plus vives et il y a eu un véritable travail sur les jeux de lumières, les détails et sur l’ensemble des personnages du jeu.




En 7 ans, la Dual Sense est passée par là et aura les mêmes fonctionnalités que pour Forbiden West. Certains animations et cadres ont été revus lors des séquences de dialogues, même à certains moment on sent que c’est un jeu qui a 7 ans et pourra paraître moins fluide que sa suite, c’est un détail.
Visuellement impressionnant
Aucun bug
Mise à niveau de 10€ pour les possesseurs du titre
Version Ultime avec DLC compris
Les moments de dialogues trop figés et ennuyeux
Sortir une version pimpée à fond était-elle nécessaire ? Oui et non, c’est un plaisir de rejouer à ce titre dans une version quasi identique visuellement que sa suite. Mais si vous avez déjà fait le titre une ou deux fois, vous allez vous ennuyer car c’est le même jeu, pas d’évolutions, ni de nouveautés, je rappelle qu’il s’agit d’une version remasterisée. Cependant, si vous aviez la version PS4, pour 10 euros de plus, c’est très accessible, sinon, vous trouverez le jeu entre 30 et 40 euros, pour quelqu’un qui ne l’a pas fait c’est d’autant plus accessible avec plus de 40h de jeu. Pour les autres c’est au choix de chacun. Vous avez ici la version tunée à son meilleur niveau avec la possibilité d’importer votre sauvegarde PS4.
Test réalisé par Aurélien