YS X NORDICS – Test Nintendo Switch

Posté le 05 Nov 2024 par

Le tout nouvel épisode de la licence YS est enfin disponible et je suis très content d’avoir eu l’opportunité de le tester étant un grand fan de la série. YS X Nordics vous invite à vivre une nouvelle aventure en compagnie d’Adol Christin en territoire Normans. Cet épisode propose un gameplay riche et une histoire toujours aussi intéressante à vivre. Le jeu est disponible sur Nintendo Switch, Playstation et PC et pour ce test nous avons joué sur la version Switch en mode portable et sur télévision et cela tourne très bien. 

Un jeu de viking

YS X Nordics nous invite à vivre une aventure viking en compagnie d’Adol Christin, de ses fidèles compagnons et de nouveaux personnages dont Karja Balta, une jeune femme qui vous accompagnera tout au long de l’histoire. Le début de l’aventure commence par un assaut sur un bateau marchand sur lequel vous vous trouvez. Un groupe de viking débarque sur le bateau et tue le capitaine car ce dernier n’a pas respecté les lois de la mer. C’est ainsi que vous débarquez dans la ville de Carnac pour vous reposer et découvrir cette nouvelle ville. Adol et ses compagnons décident de partir à la recherche de travail pour obtenir des renseignements et aider les habitants de cette île. Adol part s’inscrire à la milice de Carnac mais rencontre à nouveau Karja Balta sur la plage. Elle souhaite combattre contre Adol car ce dernier est très puissant. Cependant Adol trouve un coquillage qui lui parle et se retrouve lié par un enchantement au poignet de Karja. Ils ne peuvent plus se séparer et doivent rester ensemble à cause d’un lien magique. Un peu plus tard dans l’aventure, la ville de Carnac se fait attaquer par des monstres que les Normans appellent des Griegers. Ces derniers sont des créatures invincibles pour un homme lambda mais pour celui qui maîtrise le mana c’est une toute autre affaire. 

Adol et Karja maîtrisent tous les deux le mana et réussissent à éliminer la première attaque de Griegers. Cependant la nuit qui précède les évènements, une Griegers humanoïde décide d’attaquer Carnac avec des unités plus puissantes. La ville est assiégée et Adol, Karja et le fils du maire s’échappent en bateau pour survivre. Un peu plus tard dans l’histoire du jeu, vous allez devoir parcourir des îles pour prouver votre force aux Normans, naviguer et détruire des navires ennemis, devenir le compagnon de Karja et vaincre les Griegers pour sauver la ville de Carnac. 

Le gameplay

YS X Nordics propose un gameplay simple, nerveux et addictif. Les combats s’enchaînent très bien et il vous faudra jongler avec vos compétences et la synchronisation avec Karja pour faire un maximum de dégâts. L’arbre de compétence reste assez simple et il ne vous faudra pas un guide pour progresser dans l’aventure. Le jeu est très addictif car vous allez pouvoir enchaîner les combats et traverser les cartes à la vitesse de la lumière. 

Le gameplay sur la mer est très plaisant et vous allez pouvoir vous déplacer d’île en île tout en affrontant les navires ennemis à coup de canon. Cela m’a beaucoup fait penser à Assassin’s Creed Black Flag ou Skull and Bones. YS X Nordics tourne très bien sur la console de Nintendo mais le mode portable est bien plus fluide que sur une grande TV. 

Les +

Histoire captivante

Combats nerveux et addictifs

Personnages attachants

Traduction FR

Gameplay au bateau très sympa

Les –

Graphismes un peu daté 

Manque d’optimisation en mode docker pour la switch

Beaucoup de temps de chargement

YS X Nordics est un très bon épisode et c’est toujours un plaisir de retrouver Adol Christin dans l’une des ses aventures. Si vous aimez les vikings et les J-RPG ce jeu est fait pour vous. Le gameplay est assez addictif et c’est très sympa de pouvoir naviguer sur la mer et de combattre les ennemis sous une autre forme. Je tiens à souligner que le jeu dispose d’une traduction française et c’est très agréable. Si les graphismes un peu datés ne vous font pas peur et que vous souhaitez vivre une aventure unique, YS X Nordics saura vous satisfaire. 

Test réalisé par Pierre

Redonner vie à un des plus grands jeux d’horreur de tous les temps, ce fut le souhait et le défi de grande envergure de l’équipe de la Blooper Team, auteurs de l’excellent mais perfectible The Medium, il y a quelques années. Est-ce que le remake fera aussi mouche que l’ont fait les Resident Evil de Capcom? On vous en parle sans détour ! Bienvenue à Silent Hill !

AVANT DE COMMENCER : DISCLAIMER

Je me rappelle de la démo de Silent Hill 2 à l’époque sur PS2 mais je n’étais pas adepte du genre. Ce test est donc pour moi une découverte. La comparaison avec Resident Evil peut être logique mais nous ne sommes pas sur les mêmes personnages, les mêmes capacités, l’un est un civil paumé et dans les titres de Capcom, ce sont des soldats.

Et puis, en terme de Remake, Blooper Team et Capcom n’ont pas du tout les mêmes moyens ni le même effectif. C’est parti enfin pour notre TEST !!

De quoi ça parle ??

Alors, déjà le titre est un numéro 2 mais n’est pas une suite à proprement dit, pas besoin de faire le 1 pour comprendre cet opus. Le jeu commence dans des toilettes sales, c’est obscur, triste. James a perdu sa femme Mary 3 ans plus tôt mais ce dernier reçoit une lettre de sa soi-disante femme décédée qui l’invite a retourner dans la petite ville de campagne de Silent Hill.

Sauf que le retour dans cette bourgade n’est pas aussi sympathique que par le passé, un brouillard intense, des maisons fermées, des créatures étranges. Quelque chose se passe ? Plus James va enquêter sur sa femme disparue plus cela va être glauque et des choses vraiment bizarres vont se passer.

Une ambiance à part !

Avant de parler graphismes et mécaniques de gameplay, le studio a vraiment travaillé sur l’ambiance du titre, même si le jeu à plus d’ennemis que dans le jeu de base (j’ai regardé des phases du jeu d’il y a 23 ans). Le sound design, le noir presque complet à certains segments nous font stresser et nous imaginons des choses, là c’est réussi. Les quelques personnages secondaires sont aussi étranges les uns que les autres et on se demande ce qu’il se passe, devenons-nous fou ou est-ce James, le personnage principal qui perd la boule ?

Visuel de qualité.. Ou Presque !

On se rappelle les premières vidéos et la presse comme le public avait de lourdes craintes. Plutôt adeptes des survival-horror aujourd’hui, je trouvais le jeu daté. En plus d’une ambiance, la Blooper Team a vraiment réalisé avec brio les différents décors, le labyrinthe, l’hôpital, les rues embrumées. Avec des effets de lumières réalistes, les détails sont vraiment bien travaillées.

On y trouve même quelques similitude avec le film en live-action réalisé par Christophe Gans. Les cinématiques, plutôt nombreuses et pas trop longues sont plutôt bien réalisées même si elle restent classiques nous plongent dans l’ambiance grâce à une acting réussi, cependant les expressions faciales ne sont pas égales en fonction des personnages.

Un Vrai Remake !

Pas qu’un simple lifting, avec les mêmes niveaux, la même histoire, les mêmes histoires. L’intelligence du studio a été de s’approprier le titre et d’ajouter une patte personnelle. Ce serait vous mentir ce que je vais vous dire, je me suis renseigné auprès de mes chers confrères. Le jeu a été rallongé, l’architecture des niveaux à été repensé, plus long, des dialogues ont été ajoutés ainsi que de nouvelles cinématiques, et c’est tant mieux car, c’est ça que l’on demande à un remake, respecter à la fois la version originale mais aussi ajouter des nouveautés et que ce soit, à la limite, un jeu à part entière.

Le jeu n’est pas un titre orienté action à la base mais joue sur la peur et les angoisses, niveau arme, c’est limité, une arme blanche, au début un bout de bois avec des clous, ensuite un tuyau en métal puis ensuite vous aurez les armes à feu classiques, pistolets, fusils à pompe et fusils de chasse. Si les armes à feu sont facile à manier, les combats contre les créatures restent les mêmes, 3 coups de tuyau, une esquive et ils tombent par terre. On sent malheureusement une certaine rigidité et c’est bien dommage, les combats sont trop nombreux à certains endroits et le titre n’a pas été pensé comme ça ..

Par chance votre radio va grésiller pour vous prévenir que vos ennemis sont a côté, même un gros insecte de 20 cm est considéré comme un ennemi, ce qui provoquera une certaine crainte tout le long de l’aventure, cependant le bestiaire n’est pas très étoffé mais reste effrayant.

LES +

Une bonne durée de vie (20h en moyenne)
Une DA qui impressionne
Un sound design plus qu’effrayant et efficace
7 fins au total
Une histoire prenante qui fonctionne encore

LES –

Certains passages longs et trop d’allers-retours
Les animations faciales peu expressives
Les combats au corps à corps

Cette première aventure pour moi a été intense, effrayante, je n’avais pas eu autant de stress dans un jeu depuis fort longtemps. On a peur mais on veut continuer l’histoire comme si le jeu nous appelait à revenir sur Silent Hill. En pensant avoir un remake médiocre, nous avons été incroyablement surpris que ce soit pour les néophytes qui n’ont pas joué au jeu de l’époque comme pour les joueurs et les joueuses de 2001. Ce fut un challenge risqué que la Blooper Team a mené avec succès, pas parfait, mais le pari est réussi.

Test réalisé par Aurélien

Ce n’est pas la première fois qu’on voit les Schtroumpfs dans un jeu vidéo et c’est toujours un plaisir de retrouver les petits personnages bleus créés par Peyo dans ses BD en 1958. Habitué dans ce domaine, l’éditeur Microids fait une nouvelle fois revivre des personnages de BD dans un jeu vidéo avec ce nouvel opus intitulé Les Schtroumpfs : l’épopée des rêves… un jeu d’aventure/action/plateforme jouable seul… ou à deux!

Pour s’emparer des Schtroumpfs, l’infâme Gargamel a élaboré un nouveau plan diabolique. Il a lancé un sort sur les buissons de salsepareille dont sont friands les Schtroumpfs et ces derniers sont tombés dans un profond sommeil…

Vous incarnez alors l’un des seuls Schtroumpfs qui n’a pas été touché et votre but sera d’aller retrouver et réveiller tous vos amis dans différents mondes aux thématiques variées. Via le village des Schtroumpfs on saute sur un oreiller géant pour voler dans cet univers de rêves. Très vite on note des similitudes assez troublante avec Astrobot : le voyage dans l’univers, le fait de graviter de l’un à l’autre, la recherche d’amis, les niveaux de plate-forme… étonnant. Mais c’est une bonne réf en tous cas!

A la manière d’un Mario Odyssey (autre ref) on évolue donc dans des mondes en 3D aux couleurs chatoyantes et beaucoup d’animations. Les environnements sont riches et vivants. C’est plein de vie. C’est pas moins de 4 mondes (comprenant 12 niveaux et 16 mini-niveaux) qu’on a à notre disposition. On peut donc y évoluer seul ou bien à deux en coop. Notez qu’ici, le deuxième joueur a réellement les mêmes capacités que le premier, ce qui est fort appréciable et pas toujours le cas chez la concurrence.

On dispose de plusieurs d’outils pour passer à l’action avec des possibilité d’attraper des objets pour les jeter sur les ennemis, activer des éléments à distance, etc… Il faut faire preuve de dextérité et de réflexes aussi très souvent dans des niveaux dynamiques de plateforme. On apprécie les mécaniques de jeu avec quelques énigmes où il faut bien appréhender notre environnement pour progresser. Dans tous les cas on avance dans un univers riche et changeant avec pas mal de choses à collectionner comme notamment des cosmétiques pour nos petits personnages.

On trouve certes quelques boss amusants ou des épreuves en chute libre amusante mais globalement le gameplay est redondant et limité malheureusement.

Les Schtroumpfs: l’épopée des rêves est plein de bonnes intentions avec une belle réalisation et un univers riche et festif. Mais, coup du sort du calendrier, il souffrira vite de la comparaison avec l’excellent Astrobot de la PS5. Néanmoins, ce nouveau jeu de Microids a l’avantage d’être disponible sur différents supports dons la Switch pour en faire aussi profiter les plus jeunes joueuses et joueur.

L’excellent jeu de baston Mortal Kombat 1 sorti il y a un peu plus d’un an maintenant s’est étoffé dernièrement avec le pack additionnel Kaos Reigns que nous avons testé sur PlayStation 5…

C’est un gros DLC que nous avons ici puisqu’il prolonge l’histoire du jeu avec une deuxième partie conséquente. C’est aussi l’occasion bien sûr d’intégrer de nouveaux combattants. Ceci explique (sans doute…) son prix élevé de 49,99€… hum…

Si vous avez fini l’histoire du jeu (ce qui est conseillé), vous enchainerez donc sur une suite directe avec une confrontation face à des versions maléfiques de certains personnages tout droit sorties de l’univers du Khaos. Mais n’en disons pas plus…

Plus courte que l’histoire du jeu tout de même, cette extension permet de profiter encore plus de l’univers du jeu avec ses cinématiques impressionnantes et ses dialogues savoureux. Mais c’est surtout l’occasion de prendre en main (et d’affronter) de nouveaux personnages : Sektor, Cyrax ou Noob Saibot. Concernant les deux premiers, ils sont finalement les Kameo qu’on avait à disposition dans le jeu de base c’est donc plutôt cool de pouvoir les prendre en mains. Ils ont des capacités plutôt explosives et sont efficaces à distance.

Notez qu’ici on profite aussi du retour des Animalities qui sont en fait des Fatalities dans lesquelles les personnages en animaux ce qui occasionnent des actions toujours sanglantes et encore plus bestiales… On adore!

Pour courronner le tout, ce pack Khaos Reigns embarque aussi des combattants de choix qui arriveront prochainement, à savoir Ghostface (Scream), le T-1000 (Terminator 2) et Conan le Barbare (Schwarzy!!!) et ça c’est plus dément! On a hâte de les voir à l’œuvre.

Khaos Reigns offre une suite de l’aventure certes courte et bas du front, mais elle a le mérite de faire durer le plaisir du mode histoire avec des nouveaux personnages intéressants à jouer. On a surtout hâte de voir débarquer les prochains persos sous licences et on apprécie beaucoup le retour des Animalities. Est-ce que tout cela justifie le prix (et les gigas à installer!!!!) ça se discute…