ROCKSTER AIR 2 – Validé par Michael Myers!

On ne peut pas trouver plus approprié que la marque Teufel, qui veut dire diable en allemand, pour fêter Halloween. Teufel propose son ROCKSTER AIR 2, avec ses basses d’outre-tombe et sa puissance à réveiller les morts. La fête risque d’être monstrueuse. C’est Michael Myers en personne qui a testé le produit pour l’occasion et, même si ça se voit pas trop sur son visage, il était plutôt content!

Cette (grosse) enceinte Bluetooth est un concentré de puissance capable d’atteindre une pression sonore de 115 dB (de quoi réveiller les morts on vous dit!), tout en conservant un son équilibre de haute qualité. On pourrait croire que cette enceinte est destinée à rester dans un coin, près de la prise électrique, mais détrompez-vous, Teufel a intégré une batterie haute performance interchangeable qui possède suffisamment d’autonomie pour plus de 5 heures d’écoute à volume maximum et jusqu’à 58 heures à volume modéré! Plutôt cool comme système et, pour ceux qui veulent faire une méga-fête ou un concert sachez qu’il est possible de connecter ensemble jusqu’à 10 Rockster Air 2 !

Elle est un peu imposante tout de même cette jolie enceinte avec ses 14 kg mais reste assez facile à déplacer grâce à ses 4 poignées. Niveaux connectiques, on peut faire plein de choses :brancher un microphone, un instrument de musique et des lecteurs externes, un smartphone en USB-C ou bien en bluetooth de manière très simple.

Les basses font le taf ici avec une belle puissance et on peut régler les aigus facilement aussi sur le dessus de l’enceinte. Derrière on retrouve les connectiques différentes la possibilité d’ajouter une batterie externe et voir aussi le niveau de la batterie interne notamment. Le woofer de 250 mm à longue course est efficace pour des niveaux sans distorsion.

Il faut avouer que le design est très sympa ici (comme souvent chez Teufel) avec ce panneau de commande à régulateurs lumineux (son, basse…).

Nous avons principalement testé la Rockster Air 2 en Bluetooth pour l’écoute musicale. A voir ce que cela donne avec un instrument, un micro ou dans une utilisation prolongée en soirée dans une grande salle ou en extérieur, mais on sent que le produit à de chouettes atouts et tout cela pour un tarif appréciable de 699,99€. La marque allemande propose une nouvelle fois un produit au rapport qualité/prix impeccable. Un choix judicieux si vous voulez organiser une soirée mortelle pour Halloween!

A moins d’avoir vécu dans une grotte depuis quelques mois, la nouvelle suite d’un des plus gros RPG est sortie cet été sur PC et depuis début septembre sur consoles, il s’agit bien sûr de Baldur’s Gate 3. Inutile de vous raconter les tenants et aboutissants de ce 3ème opus vu qu’un test a été écrit par Pierre sur Steam Deck ici-même. Aujourd’hui, nous allons vous parler de notre ressenti sur la mouture PS5, manette en mains !

Les différences entre la version PC et la version PS5

Du point de vue du gameplay, rien de spécifique à signaler vu que la version PC était jouable avec la manette. Cependant, il faudra un peu de temps pour vous habituer au gameplay RPG du titre avec la Dual Sense.

Il y a énormément d’options pour les combats, les sorts, les esquives, les sauts, les soins, etc… Vous aurez plusieurs roues de sorts dans lesquelles il faudra switcher avec les boutons assignés. Pas instinctif au début mais au bout d’un certain moment vous allez vous y faire.

A noter que vous pourrez commencer une partie sur PS5 en la sauvegardant en ligne, continuer sur PC et finir sur PS5. Aussi, vous n’aurez que 5 sauvegardes conservées en ligne. Et soyez rassuré, la version PS5 tient le coup techniquement et n’a rien a envier à la version PC. Nous n’avons pas vu de gros bugs gênants, ni de ralentissements pouvant nuire à l’expérience de jeux.

Une durée de vie INCROYABLE !

Vous vous rappelez des « Livres dont vous êtes le héros »? Ici, c’est à peu près la même chose; chaque choix de dialogue, chaque combat, chaque décision aura un impact sur le reste de l’histoire. Un tel impact que Larian Studios prévoit plus de 15 000 fins au total. Une certaine preuve que le titre en a dans le ventre et ce qui explique pourquoi il aura mit autant d’années à sortir.

Les +

Durée de vie FOLLE : PLUS DE 100 heures de jeu !
La création du personnage ultra complète
Un vrai hommage à Donjons & Dragons
Le système de combats au tour par tour
Un univers riche
La possibilité presque infinie de scénario et de fins

Les –

Le gameplay à la manette peu instinctif pour les combats
Destiné aux connaisseurs du RPG, les néophytes seront perdus

La version PC de BG3 peut demander une très bonne config, sur PS5 pour 500€ donc, le jeu tournera aussi bien que sur ordinateur. Le titre est quasi identique et fera le bonheur des joueurs consoles. Il reste destiné principalement aux connaisseurs et aux fans des jeux de rôle. Il vous faudra cependant un certain temps d’adaptation pour apprivoiser les roues lors des combats au tour par tour.

Test réalise par Aurélien

Microids propose son adaptation vidéoludique du célèbre roman policier de Agatha Christie : Le Crime de l’Orient-Express. Le jeu sort demain sur Nintendo Switch, PS4, PS5, Xbox One, Xbox Series X/S et PC. Voici notre test, dans la tête de Hercule Poirot…

Un crime est commis à bord du mythique train l’Orient-Express. Le détective Hercule Poirot, qu’on ne présente plus, est justement du voyage et il va devoir mener l’enquête dans ce milieu clos face à des passagers tous potentiellement suspects et qu’il faudra donc interroger…

Vous allez me dire, « J’ai lu le livre, du coup il n’y a plus de surprise! ». Détrompez-vous, car l’équipe de Microids Studio Lyon a eu la bonne idée d’intégrer une enquête extérieure (sous forme de flashbacks) au train dans laquelle on incarne un autre personnage, l’inspectrice Joanna Locke… Ainsi, on passe d’un enquêteur à l’autre au fil de l’intrigue et bien sûr, tout est lié… Un bon moyen de renouveler l’œuvre originale ainsi que le plaisir de jeu.

Les aventures à bords de trains ont toujours une ambiance particulière et c’est d’autant plus le cas quand le train en question est le légendaire Orient-Express. Celui-ci est plutôt bien retranscrit visuellement avec des décors riches et détaillés, notamment au niveau des moquettes, des tapisseries, des marqueteries… C’est assez chouette visuellement. Au niveau des personnages, c’est pas vraiment la même limonade. Si certains, comme Poirot ou Locke, sont convainquant, d’autres sont franchement ratés. C’est un peu frustrant quand on voit les magnifiques artworks de Cédric Peyravernay, character design sur des jeux comme Prey ou Dishonored…

La VF est assez propre quoiqu’un peu surjouée et la musique jazzy un peu kitch, mais souvent raccord avec l’action.

Qui dit crime dit enquête et qui dit enquête dit remue-méninges. Mais ici, le joueur est très (trop) guidé dans son investigation. On sait toujours qui ont peut interroger, les éléments du décors avec lesquelles on peut intéragir et, évidemment, dans le train, on ne peut pas se perdre et entre la premier classe, la seconde classe, les cuisines, le restaurant et le bar, on a vite fait le tour. Heureusement, l’enquête extérieure de Joanna permet de voir d’autres environnements (jamais très ouverts).

La mécanique de jeu est axé sur le cerveau de Hercule Poirot et ses cellules grises… Représenté par une sorte d’arbre de déductions, l’esprit du détective nous permet de constater les infos acquises, les déductions faites, les preuves confirmées, les suspects écartés, etc… Et tout cela est intéractifs par le biais de différentes petites choses : pour les personnages par exemple on devra confirmer leur nationalité, leur métier et leur âge via différents choix selon ce qu’on aura entendu au cours des conversations. Aussi, dans certaines étapes de l’enquête on devra remettre des chronologies en ordre. Aussi, lorsqu’on pense qu’un suspect ment, on pourra le confronter en choisissant la bonne phrase qui cloche, etc… Tout cela est varié et bien pensé, facile à réaliser mais pour le coup assez dirigiste encore une fois.

Quand on sort de la tête de Poirot et qu’on le dirige dans le train, on peut donc aller où bon nous semble et interroger les personnages qui sont disponibles. Ceux-ci vaquent à leurs occupations et ils ne seront pas toujours au même endroit. Parfois ils seront dans leur cabines et ce sera aussi l’occasion de fouiller la pièce. Là on peut manipuler des objets et parfois tomber sur des mécanismes/puzzles à résoudre, jamais très compliqués.

La réalisation du jeu est inégale et on constate davantage les faiblesses graphiques lors des passages avec Joanna. C’est un peu dommage car l’ambiance aurait pu être bien meilleure avec des graphismes plus affirmés et des effets de lumière ou de particules plus réalistes. La direction artistique a un peu le c.. entre deux chaises ni réaliste, ni cartoon.

Imparfait, Le Crime de l’Orient-Express est un jeu d’enquête accessible et plutôt agréable à jouer car il possède un certain rythme et un renouvellement de l’action. Les enquêtes parallèles sont sans doute le point fort du titre. Cependant, les plus aguerris en matière d’enquête policière resteront un peu sur leur faim avec un jeu qui nous prend trop par la main. Mais cela pourra permettre aux plus jeunes de s’amuser aussi à jouer les détectives. Le jeu sort demain et notez qu’une édition Deluxe contient en plus du jeu, un artbook de 48 pages, la bande-son numérique ainsi qu’un marque-mage ticket de l’Orient-Express.

FIFA et EA c’est terminé… Après une longue relation et suite à un différent, pas de FIFA 24 donc mais un EA Sports FC 24. Changement de nom? Et alors, ça change quoi?… On vous en parle dans notre test!

Une version bis du précédant OPUS ?

Avons-nous là un ravalement de façade sur le fond et la forme avec ce nouvel épisode ? Il y a en effet des petites nouveautés sur le gameplay, déjà, rassurez-vous les animations sont toujours aussi réalistes et variées avec le moteur Frosbite et la fameuse technologie Hypermotion (un régal pour les yeux et la manette).

C’est au niveau de la défense que cela change car vous allez devoir trouver des tactiques pour marquer et créer des occasions, en effet, la défense laisse moins d’espaces que par le passé. Et pour les adeptes de grosses frappes bourrines, vous serez aux anges avec le bouton de tir pressé (LB + RB ou L1 + R1), avec ceci le but est presque sur à 100% !

Plus de FIFA… Des Licence à la PES ?

Rappelez-vous par le passé, PES n’avait pas les droits des ligues, ni du nom des joueurs et on se retrouvait avec des faux championnats et des faux noms comme ZODANE à la place de ZIDANE. Rassurez-vous, ce n’est pas le cas ici.

On ne va pas tout énumérer mais vous aurez les grosses ligues, 4 championnats européens masculins majeurs, la NWSL américaine et une mise en avant sur le football féminin (il était temps!). Et concernant les commentaires, il s’agit toujours du duo Benjamin Da Silva et Omar Da Fonseca avec une touche féminine, celle de Laure Boulleau, ex-joueuse du PSG et consultante sur Canal + qui ajoute un petit plus.

Le mode Ultimate Team : une évolution majeure !

Le mode phare de la licence depuis de nombreuses années revient en force avec une révolution, en plus des cartes des joueurs que l’on connait, le mode sur FC 24 ajoute toutes les cartes des joueuses présentes dans le jeu, ces dernières sont notées en fonction de leur championnat et pas en comparaison avec les sportifs masculins : un petit pas pour l’égalité des sexes dans le milieu sportif « virtuel ».

Fini le mode Clubs Pro : bienvenue Clubs

Cette année le mode foot de rue ou VOLTA est affilié au mode Clubs, vous allez créer votre personnage personnalisable dans l’un des deux modes et vous ferez soit des matchs, des mini-jeux ou des matchs en ligne. Pas vraiment de changements mais ça fait le boulot entre deux gros matchs !

Dans le mode clubs, le mode qui m’a le plus plu dans le jeu et également le plus addictif est celui dans lequel vous allez juste devoir contrôler un joueur (comme le mode « mon joueur » dans NBA2K). En solo, vous allez enchaîner les matchs, les entrainements pour devenir le meilleur joueur en atteignant des objectifs lors de vos matchs ou bien faire des matchmaking en ligne avec d’autres joueurs. Ce mode est une vraie force de ce FC 24.

Les +

Des nouveaux stades (Rennes, Glasgow)
Le foot féminin dans Ultimate Team
Les animations avec Hypermotion
Le crossplatform
Le gameplay revisité (surtout face à la défense)

Les – 

Le mode carrière qui reste figé
Absence de certains clubs italiens
Manque un mode histoire en mode clubs

Ne plus être affilié à FIFA fut un gros challenge pour EA Sports, malgré certains modes restés figés cette année, d’autres évoluent grandement comme le mode FUT ou Clubs. La grande force du titre est le gameplay légèrement revu et que les développeurs se sont remis en question et n’ont pas proposé un simple copié/collé par rapport à l’année précédente. Un titre qui n’est pas une révolution en soit mais se remet en question et propose son lot de nouveautés pas négligeables…

Test réalisé par Aurélien