
Vous savez tous qu’avant Mario il y avait Donkey Kong et un petit personnage nommé Jumpman… ah bah si, c’était Mario en fait! Avec Mario vs Donkey Kong on revient aux sources dans l’esprit avec un jeu qui s’inspire surtout d’un jeu déjà sorti sur Game Boy Advance il y a 20 ans…
C’est un plaisir de retrouver ce duel ancestral entre Mario et Donkey Kong avec ce concept de jeu de plate-forme axé sur la réflexion et la résolution de puzzles. Donkey Kong s’est pris de passion pour les jouets minis-mario et Mario part donc l’en empêcher! Le pitch lancé. C’est simple, efficace, c’est du Mario.

On retrouve les mondes à la Mario qui sont autant de biomes différents à traverser. Dans chaque niveau on doit parvenir à trouver une clé qui débloque la partie suivante pour sauver les fameux jouets mini-marin. Ce concept est efficace et se renouvelle par l’ajout de mécaniques différentes et de personnages et ennemis variés. D’ailleurs, les différents environnements influent sur le gamplay avec par exemple des lianes dans la jungle pour se déplacer ou bien des zones glissantes dans le pays enneigé.
Seul ou à deux, on évolue donc dans ces tableaux colorés et pleins de vie avec toujours ce besoin de bien réfléchir avant d’agir. Il est d’ailleurs pertinent de bien analyser l’ensemble du tableau (qui est parfois très étendu) avant de se lancer.
Certains niveaux retors pourront être un peu plus punitif mais une difficulté ajustable permet à tous de s’y retrouver sans trop de contraintes.






S’il est obligatoire de se déplacer de plate-forme en plate-forme et qu’on devra éliminer des ennemis, le jeu reste principalement axé sur ce concept de réflexion. L’ensemble est néanmoins bien équilibré et assez peu redondant finalement.
La récupération de minis-mario n’est pas sans rappeler des jeux comme Lemmings ou Pikmin avec moins de complexité.
Terminer tous les mondes vous proposera déjà de quoi faire avec une difficulté croissante. Ensuite, vous pouvez aussi accéder à des modes comme le contre-la-montre.
Concernant le jeu à 2 en local, un joueur contrôle Mario tandis que l’autre contrôle Todd avec, du coup, la nécessité de trouver une deuxième clé dans les niveaux.
Graphiquement, le jeu est de toute beauté avec un style coloré et dynamique dans le pur esprit Mario.
Mario vs Donkey Kong n’est pas un remake du jeu sorti en 2004 sur Game Boy Advance, c’est plutôt une relecture d’un jeu déjà efficace à l’époque avec une technique actuelle dans tous les domaines et une durée de vie conséquente avec un challenge qui s’adapte à tous types de joueurs. Un concept de réflexion fun et addictif toujours bienvenu dans le catalogue des jeux vidéo actuel.

4 ans, c’est le temps qu’il a fallut attendre pour la suite du remake d’un des épisodes de Final Fantasy les plus appréciés de tous les temps. Un remake qui a fait débat mais qui a permis de replonger dans un opus en avance sur son temps par rapport à ses thématiques écologiques ou encore sur la sur-consommation. Mais que vaut ce « Rebirth » ? Est-ce une vraie renaissance ou une suite sans remise en question?
On quitte le combat au tour par tour pour des combats en temps réel, ou presque, certes, vous pouvez frapper tout ce qui bouge de façon fluide mais également mettre le combat en quasi-pause pour faire attaquer vos collègues avec des attaques spéciales et magiques. Un vrai sens de la stratégie lors des combats !

Pour les combats, vous pourrez placer trois de vos combattants, chacun ayant ses compétences, ses points forts et ses faiblesses. On vous l’a dit, cela reste stratégique ! Mais rassurez-vous toute votre équipe vous suivra dans vos aventures, c’est juste lors des combats qu’il faudra réfléchir qui fait quoi et surtout quels pouvoirs, quelles caractéristiques il faut améliorer.
Les combats sont nerveux, énergiques et certains boss vont être très long à combattre en plus de la pléiade de coups à disposition, vous aurez toujours la possibilité d’invoquer des créatures pour vous aider en combat mais aussi des attaques combinées avec deux attaquants en même temps pour que vos ennemis souffrent encore plus, cet ajout propose une stratégie supplémentaire, car il va falloir s’armer de patience pour débloquer cette compétence lors d’un combat. Ce qui est formidable c’est la possibilité de combattre sous plusieurs formes.
Comme dans tout bon RPG, plus vous faites des missions principales, secondaires et de combats, plus vos personnages vont évoluer. Chacun évoluera individuellement mais il y aura une sorte d’évolution commune pour débloquer de nouvelles compétences grâce a des « PA » ces points vous permettront de débloquer de nouvelles attaques, d’avoir plus de points de vies, augmenter vos attaques normales ou spéciales, c’est intuitif et simple à comprendre. En plus de ça, il y aura de nouvelles matérias à disposition et son nombre est conséquent (les matérias permettent d’avoir de nouvelles compétences).

Après FF7 Remake et ses couloirs, préparez-vous à vivre un monde ouvert où il y aura de quoi faire, mêlant habilement zones étriquées et zone libres, un vrai plaisir à découvrir car étant bien équilibré entre les deux formes. Vous allez en apprendre plus sur le passif de chaque personne les rendant encore plus attachants mais ce n’est pas tout. Comme dans beaucoup de jeux de rôle, vous allez avoir des affinités possibles entre les personnage grâce à des choix de dialogues qui influenceront vos rapports avec collègues de combat. Un choix de narration tout bête mais qui nous rend véritablement acteur de ce « Rebirth » et qui fait du bien. Des fans de la première heure pourront être surpris par certaines séquences avec des ajouts qui prouvent que ce remake n’est pas qu’une pâle copie mais bien un jeu 2.0 !




Alors, je vous vois venir les fans, le jeu est excellent mais comme tous les RPG, il est répétitif, pleins de combats à répétitions qui mixent avec des cinématiques mais contrairement à FF XVI ou c’était intenable, FF7 Rebirth sait rythmer entre phases couloir, combats, open-world et cinématiques avec une VF de grande qualité. Mais soyons honnête cela peut être répétitif sachant que si vous voulez tout faire il faudrait à son grand minimum 80 heures de jeu en comptant histoire principal, quêtes secondaires et le fameux jeu de carte addictif !
Il n’est pas rare que dans les RPG, il y ait des jeux de cartes créés pour débloquer des items, en général je ne m’y attarde pas mais je dois dire que je me suis fait prendre au jeu (c’est le cas de le dire). Un jeu de cartes au tour par tour ou chaque carte a une compétence et des points, le but est de piéger votre adversaire et d’avoir le plus de points possibles. C’est ultra stratégique, on y reste des heures et c’est addictif ! Cela a eu tellement de succès que Square Enix pense même à une extension pour le Queen’s Blood !
Les affinités modulables entre les personnages
Le bon mix entre phases couloirs et open world
Des combats ultra dynamiques et stratégiques
Une OST incroyable
C’est BEAU
Une aventure prenante et une longue durée de vie
Un scénario comme on aimerait en voir plus souvent
Quelques bugs, un boss restant coincé au dessus du mur…
Quelques longueurs
Plus l’effet de surprise de FF 7 Remake
Bon, inutile de jouer le suspens plus longtemps, FF 7 Rebirth est la digne suite du Remake, son lot d’améliorations, d’évolutions dans la forme et le fond font mouche. Square Enix ne se contente pas de faire un copié-collé mais de sublimer son chef d’oeuvre en y ajoutant des séquences qui font le taf et ça fait du bien ! C’est le jeu qu’il vous faut si vous aimez la saga, le remake, l’aventure, des personnages bien écrits, attachants et des combats stratégiques tout en étant accessibles. N’hésitez plus, c’est l’un des meilleurs jeux de ce premier trimestre.
Test réalisé par Aurélien

Avec le moniteur gaming GCB4580DQSN-B1 de la gamme G-Master Red Eagle déploie ses ailes chez Iiyama avec un écran incurvé de 45 pouces!
Cette courbure, mesurée à 1500R, assure une expérience de visionnage réaliste et confortable, permettant une immersion totale dans le jeu. Il s’adresse aux joueurs sur PC cherchant à passer à un écran DQHD ultra-large avec une résolution de 5120 x 1440, le tout à un prix abordable.

Avec une netteté d’image remarquable grâce à ses 7.4 millions de pixels (format 32/9) et une luminosité de 450 cd/m², cet écran offre des visuels précis. Son temps de réponse MPRT de 0.8ms et la prise en charge du 165Hz permettent aux joueurs de prendre des décisions en un clin d’œil, évitant ainsi les problèmes d’images fantômes ou de rémanence.

Les joueurs qui accordent une grande importance à leurs configurations seront ravis de constater que le moniteur est pourvu de ports USB-C DOCK, Display Port, HDMI 2.1, et d’un HUB USB 3.2. De plus, le GCB4580DQSN-B1 offre l’avantage d’un support réglable en hauteur, permettant une flexibilité totale pour trouver la position idéale de l’écran. Cela s’avère particulièrement essentiel compte tenu de la diagonale imposante de 45 pouces, en facilitant l’ajustement de l’écran à la hauteur des yeux.
Il devrait rapidement trouver sa place sur le marché aux alentours des 850 euros !

Vous le savez peut-être déjà, il souffle le chaud et le froid, mais le Suicide Squad : Kill the Justice League des studios Rocksteady (à qui on doit tout de même les très bons jeux Batman) mérite sa chance et qu’on parle de lui un tant soi peu. N’en déplaise au fan de l’homme chauve-souris, c’est au tour de la bande loufoque de Suicide Squad d’être dans la lumière…

… mais on reste dans la continuité des jeux Batman et notamment le dernier en date, Arkham Knight… Le fameux Brainiac envahit la planète en s’accaparant, malgré eux, les membres de la Justice League! Pas le choix : on appelle (Amanda Waller appelle…) les instables membres de la Suicide Squad que sont Harley Quinn, Deadshot, Captain Boomerang et King Shark…
Dès les premières minutes, on prend le contrôle de chacun d’entre eux à tour de rôle pour comprendre leur gameplay respectif : Harley Quinn et son grappin, Captain Boomerang… et son boomerang, Deadshot et son sniper ou King Shark et sa force brute… On apprécie très vite les possibilités diverses que proposent ces personnages très différents et qui, dans tous les cas, permettent de jouer de l’arme à feu avec percussion…

Très vite aussi, on remarque que, visuellement, le jeu est agréable à l’oeil avec un monde ouvert assez riche et bien fichu. Perfectibles, les cinématiques sont également d’assez bonne facture et mettent dans l’ambiance avec en plus de cela des doublages français efficaces.
Après le début du jeu qui fait office de tuto, on retourne dans le passé pour vraiment prendre en main notre équipe avec différentes missions à effectuer sous les ordres de madame Waller. On va très vite rencontrer des vilains comme le Pingouin ou plus tard Lex Luthor ou l’Homme Mystère, mais aussi, forcément Flash, SuperMan, etc… puisque ces héros sont devenus les marionnettes de Brainiac. Et c’est carrément cool!

Très aérien finalement, le gameplay nous propose aussi bien sûr d’arpenter les rues glauques de Gotham City et l’ambiance est assez bien sentie avec une intrigue intéressante qui se déroule avec du rythme et des dialogues souvent savoureux.
Le gameplay enjoué et explosif nous met des oeillères les premières heures de jeu mais ensuite on comprend que le monde ouvert reste finalement assez restreint et les missions finalement plutôt redondantes (heureusement, on fait un tour à Metropolis…).

La dimension RPG du titre le sauve aussi un petit peu avec la possibilité de faire évoluer nos personnages et leur matos ainsi que leur apparence. C’est toujours très sympa.
Si le jeu prend une autre dimension en coop 4 joueurs en ligne, en solo l’intérêt est moindre mais reste intéressant par l’histoire qu’on a envie de suivre et qui réserve de belles choses au fur et à mesure. Si le gameplay est redondant, l’intrigue tient en haleine.
Pourtant, on prend plaisir, quelque-soit le personnage utilisé, à tirer sur tout ce qui bouge, jouer au corps à corps et sauter d’immeuble en immeuble. Mais on comprend qu’on est dans un système répétitif de vagues d’ennemis à exterminer. Et pour cela, on a des clients avec souvent beaucoup d’ennemis présents à l’image.
Rocksteady Studios a prouvé par le passé qu’ils étaient plein de ressources et capables de proposer du très bon en terme de jeux vidéo. Ici, avec Suicide Squad : Kill the Justice League on reste mitigé même si on a une approche originale de l’univers Arkham, une histoire agréable à suivre et un gameplay nerveux et inventif. Malheureusement, la redondance dans les missions fait vite retomber le soufflet. Du coup, ce jeu, qui aurait pu être parfait, reste moyen et de nombreux joueurs passeront malheureusement à côté.
Suicide Squad, Rocksteady, ça vend du rêve sur le papier ! Rassurez-vous, ce n’est pas la bouse que tout le monde attendait. Etant un fan de la saga Arkham, j’attendais ce jeu avec impatience !
Une narration impeccable, des personnages atta-chiants fidèles au film de James Gunn et aux comics. Le jeu est plutot beau et ses cinématiques sont prenantes sans vous parler de la VF qui est une petite pépite. Il faut savoir que nous ne sommes pas dans la même promesse que les Arkham. Ici le jeu est bourrin, il faut tirer sur tout ce qui bouge, faire évoluer ses persos et c’est répétitif. Imaginez un mélange de « Gears » et des « Gardiens de la Galaxie ». J’ai trouvé le le titre classique, mais il réussit à nous emporter dans une histoire prenante.
Reste à voir comment le titre va se débrouiller sur le long-terme. Vous comprendrez en ayant fini le jeu…