
Un monde technologiquement proche de Blade Runner ou encore Deus Ex, mélangeant l’ambiance des polars des années 40 à celle du jeu L.A Noire, vous rajoutez la façon d’enquêter comme le chevalier noir d’Arkham Knight… et vous obtenez la bonne surprise de l’été : Nobody wants to die, un jeu d’enquête à la première personne qui surprend dans le bon sens.
Bienvenue au New York de 2329 et sa haute technologie, ses meurtres, sa corruption, ses enquêtes… Au final, en 400 ans, depuis la prohibition, les choses n’ont guère évolué. Dans le futur, l’immortalité est le but de tous, seulement les plus richespeuvent se le permettre en stockant leur conscience dans un nouveau corps. Cela rappelle les bonnes histoires de Science-Fiction ou encore une bonne oeuvre de Philip K Dick (Blade Runner, Minority Report). Avec une voix roque, cassée, usée à cause des cartouches de cigarettes, des bouteilles de whiskey consommées, nous allons suivre James Karra qui a fuit le bonheur et s’est enfermé dans son travail suite à la mort de sa femme.

Nobody wants to die est le premier titre du studio polonais Critical Hit Games. La chose qui impressionne le plus c’est sa beauté, son ambiance des vieux polars avec un contraste vu que l’oeuvre se passe dans le futur. On est tout de suite emporté par la direction artistique et l’univers du titre. Les acteurs, l’univers, la mise en scène, vous allez être en total immersion dans un monde qui va marquer ainsi que dans les détails et la musique qui nous plonge encore plus dans les enquêtes grâce à l’excellent travail de Mikolai Stroinski.
En plus de rendre le jeu immersif, il est incroyablement beau, j’ai été étonné par sa beauté et cela faisait quelques temps que je n’avais pas trouvé un jeu aussi beau.





Il ne suffit pas d’être le plus grand enquêteur de l’univers, le genre est entre le walk simulator et les enquêtes très dirigistes, l’objectif est simple, immerger le joueur dans un univers, dans une ambiance particulière avec les interactions entre l’enquêteur et sa collègue Sara. Vu comme ça, le titre paraît parfait mais non, il est soumit a des soucis de répétitivités, les missions, dans la forme se ressemblent énormément mais par chance, le jeu ne traîne pas en longueur, entre 5 à 7 heures de durée de vie.
L’ambiance Polar années 40 et Cyberpunk
Les graphismes de toute beauté
Une histoire prenante
Des personnages bien travaillés
Un jeu très répétitif
Certaines mécaniques redondantes
Trop dirigiste
Nobody Wants to die est un titre que l’on attendait pas et qui est une très bonne surprise. Dés les 5 premières minutes, on sait qu’on va adorer l’ambiance, la mise en scène et cette histoire d’enquête futuriste. Avec quelques problèmes de gameplay et une histoire trop dirigiste sans ce sentiment de liberté, on oublie ce manque d’autonomie grâce à la narration et l’histoire qui sont les forces de ce titre. Un jeu répétitif mais qui promet un bel avenir au studio Suédois.
Test réalisé par Aurélien

Si vous êtes à la recherche de nouveaux jeux pour votre été, Capcom est au rendez-vous avec la sortie d’un tout nouveau jeu d’une licence inédite. Son titre est Kunitsu Gami Path of the Goddess et vous invite à vivre une aventure intense dans un Japon rongé par le mal.
Kunitsu Gami Path of the Goddess vous fait vivre l’histoire d’un esprit invoqué par une prêtresse dans une montagne reculée. Ces terres sont envahies par des esprits maléfiques et vous allez devoir l’aider pour purifier les villages de cette montagne et permettre aux villageois de regagner leur tranquillité.

Le jeu est découpé en plusieurs niveaux dans lesquels vous allez devoir réussir les différents défis qui vous seront proposés. Vous aurez accès aux zones infestées dans lesquelles vous allez devoir purifier chaque recoin de la carte pour obtenir des orbes qui vous permettront d’assigner un métier à un villageois. Ces métiers sont importants car ils vous permettent de créer de véritables soldats pour protéger la prêtresse et vous aider au combat. Suivant votre progression, vous allez obtenir de nouvelles classes pour vos villageois citons par exemple : la chamane, le sumo, l’archer, le guerrier et le voleur. Celles-ci peuvent être améliorées dans vos différentes bases pour gagner en puissance d’attaque et vous permettre d’affronter les boss des différentes zones. Certains niveaux peuvent être assez longs et il vous faudra passer plusieurs nuits dans ces zones pour purifier le portail. Le jeu propose un système jour/nuit qui permet d’établir une stratégie et de faire avancer la prêtresse en échange de quelques orbes. Il vous faudra explorer chaque recoin de la carte pour ne rien louper et vous permettre d’optimiser votre run. Les orbes sont très précieuses et peuvent être récoltées en purifiant une zone, en tuant des monstres la nuit ou en récompenses dans vos différentes bases. Cela permet de faire avancer la prêtresse jusqu’à l’objectif mais elle est assez lente et cela peut-être très rageant.




Les combats des boss sont assez difficiles et pour ma part j’ai cru arrêter le jeu dans un niveau ou il faut parcourir 2 cartes en étant seul avec aucune aide des villageois. Le jeu propose assez de stratégie pour me captiver car vous aurez le possibilité de déplacer vos villageois pour optimiser les dégâts. Tout comme un tower défense il vous faudra rester calme pour réussir les différents niveaux du jeu.
Gameplay original
Nouveau jeu, nouvel licence
Le système de stratégie
Aucun mode de difficulté
Prêtresse très lente
Kunitsu Gami Path of the Goddess est une excellente surprise et m’a captivé du début jusqu’à la fin. Cependant son manque d’accessibilité par l’absence d’un mode de difficulté se ressent et est l’un de ses gros points faibles. Le jeu ne pourra pas plaire à tout le monde à cause de cela mais son gameplay qui mixe stratégie et phases d’actions est très plaisant. Capcom a fait fort et j’espère qu’ils sortiront de nouvelles IP car ce jeu est une réussite et j’espère une mise à jour très bientôt pour apporter des modes de difficultés afin de rendre le jeu plus accessible.
Test réalisé par Pierre

Relever plus de 150 défis de vitesse rétrogaming, voilà ce que propose Nintendo World Championships: NES Edition sur Nintendo Switch…
Super Mario Bros., The Legend of Zelda, Metroid, Donkey Kong, Balloon Fight, Kid Icarus… c’est pas moins de 13 jeux mythiques de la NES qui sont proposés ici via de courts défis de vitesse aussi grisants que nostalgiques.

En multi online ou local, on peut défier ses amis dans tous ces défis ultra rapides ou bien se perfectionner face aux fantômes d’autres joueurs dans un tournoi de survie.
Cette compil rétro permet aussi de débloquer et collectionner tout un tas de pin’s de tous les univers proposés et, petit détail amusant, en début de jeu, on peut choisir un petit slogan qui nous ressemble, en fonction de notre histoire avec la NES et le jeu vidéo en général… « mes parents sont de la génération NES », « Je lis tous les guides de jeu », « Je préfère regarder que jouer », « J’ai les jeux mais pas la console »… etc.. Plutôt marrant.



Ces défis de vitesse vous garantissent des parties rapides et immédiate avec des possibilités de retenter votre chance rapidement. L’accessibilité est donc de mise mais le challenge aussi et en ligne, on est vite confronté à du lourd. Les plus férus pourront tenter de gravir les échelons à condition d’entrainement et de patience…
En local, c’est du coup plus accessible à tous et aussi plus fun même si c’est toujours un peu tendu quand même évidemment. Rigolades et engueulades garanties!
Même si on aimerait encore plus de contenus et de fonctionnalités, Nintendo World Championships NES Edition est une approche amusante du rétrogaming avec une bonne dose de challenge dans des conditions très accessibles, sans blabla. On espère maintenant une édition concernant une autre console Nintendo. Je suis certain que c’est dans les plans de la marque…

Dans cette période de forte chaleur quel meilleur ami que le ventilateur! Moins coûteux et plus pratique qu’une climatisation, un ventilateur peut être salvateur ces temps-ci. Duux propose différentes solutions en matières de rafraichissement de l’air avec notamment la gamme Whisper et plus particulièrement le Whisper Flex Ultimate que nous avons pu tester.
Ce ventilateur sur pied de plus d’un mètre de haut peu aussi se scinder en deux pour un format plus petit (pour poser sur un bureau par exemple). Plutôt léger (4kg) le Whisper Flex Ultimate est pratique à positionner dans différentes pièces, selon les besoins, d’autant plus qu’il peut fonctionner sans fil! On peut aussi bien sûr le brancher en permanence ou bien utiliser le petit spot sur lequel on le pose afin qu’il se recharge. Notez que sans fil, on ne peut pas aller à la puissance maximale (30) mais seulement jusqu’à la vitesse 15. Mais c’est déjà très satisfaisant.





On apprécie aussi les possibilités de balancement horizontal (90°) et vertical (105°). Aussi, on peut choisir entre une ventilation franche et continu ou bien une ventilation plus naturelle et variante, comme le vent…
Grâce à ses doubles pales de ventilateur, le ventilateur économe en énergie a une portée de vent pouvant atteindre 17 mètres, ce qui permet de rafraîchir même les pièces les plus grandes. Grâce à un capteur, vous pouvez choisir votre température idéale. La vitesse du vent s’ajuste automatiquement, tandis que le ventilateur continue de fonctionner de manière très silencieuse.

Toutes les fonctionnalités se dirigent via la molette sur le socle, ou bien via la télécommande (qu’on peut aimanter au bras du ventilo) ou bien encore via l’application smartphone en Wifi!
Design, léger, modulable, silencieux, connecté… le ventilateur Whisper Flex Ultimate de Duux a tout ce qu’il faut pour rafraîchir une pièce en ces temps de canicule. Il est disponible au prix de 199€, un tarif justifié par ses capacités et ses finitions, d’autant plus que c’est un produit qui sera toujours utile. Plus d’infos ici.