
Stellar Blade rencontre un énorme succès grâce à son exclusivité Playstation et son gameplay nerveux. Son héroïne très charismatique a suscité beaucoup de polémiques au sujet de ses formes. Cependant beaucoup de fans apprécient le personnage et les nombreuses possibilités de customisation grâce à un large choix de costumes.

Stellar Blade a tapé dans l’œil de Yoko Taro, le directeur créatif de Nier Automata qui a souhaité travailler en collaboration avec le créateur du jeu. C’est ainsi qu’un DLC en collaboration avec la licence Nier Automata débarque sur Stellar Blade. Cette nouvelle mise à jour payante offre son lot de bonus pour tous les fans. Vous allez pouvoir profiter de plusieurs nouvelles tenues provenant de la licence Nier Automata citons par exemple les tenues de 2B, d’Emile et bien d’autres. Cependant l’obtention des tenues de Nier Automata n’est pas si facile que ça. Il vous faudra obtenir de nouveaux collectibles pour les échanger à Emile dans les terres désolées. Cependant ce nouveau personnage qui provient directement de la licence Nier est très difficile à rencontrer. Il se déplace sur toute la carte à toute allure et il vous faudra rester attentif pour pouvoir l’aborder. La solution pour communiquer avec lui est de le taper avec votre lame pour arrêter sa course. Ainsi vous allez pouvoir débloquer la mini-quête de récolte pour échanger vos larmes stellaires contre les nouveaux costumes.




Ce DLC apporte aussi une nouveauté : le mode photo. Vous allez pouvoir vous amuser à prendre Eve en selfie ou créer de superbes virtual photography. Personnellement j’aime énormément cet ajout car je suis un grand fan de la série Nier. Cela permet d’ajouter du contenu cosmétiques et de rejouer à cette super exclusivité.
Test réalisé par Pierre

On n’osait plus y croire. Entre la fermeture du studio en 2011, les difficultés de financements, l’invasion de l’Ukraine et l’incendie des locaux à Prague, STALKER 2 revient de loin. Dire qu’il était attendu relève de l’euphémisme, tant la franchise de GSC Game World est devenue culte auprès d’une communauté de fans toujours plus grande. D’abord confinée à la sphère PC pendant près d’une décennie, une collection sobrement intitulée Legends of the Zone a vu le jour sur PS4, Xbox et même Switch à l’hiver 2023. 15 ans après l’excellent Call of Pripyat, Heart of Chornobyl est enfin là. Et il ne fait pas dans la dentelle. Alors, retour triomphal ou désastre technique ?
Mettez vos masques à gaz et sortez les AK47, car nous allons chercher ces réponses au cœur de la Zone.

STALKER 2 est à l’image de ses prédécesseurs. Il s’agit en effet d’une chimère étrange qui mélange RPG, exploration, survival horror et FPS. Le tout dans un enrobage extrêmement punitif que ne renierait pas Hidetaka Miyazaki (Dark Souls). Une proposition unique, que personne d’autre n’a réellement tenté depuis.
Comme chez ses grand frères, il faudra arpenter l’immense Zone d’exclusion de Tchernobyl. Y combattre des mutants et des bandits, explorer des laboratoires soviétiques désaffectés, et démêler un scénario d’anticipation pas toujours très clair. Tout ça en naviguant entre des factions dont les objectifs et les philosophies sont diamétralement opposées. Le joueur devra donc choisir qui aider, faire du commerce et entretenir son matériel pour avoir une chance de survivre.




L’univers de STALKER est influencé par deux choses. La catastrophe nucléaire de Tchernobyl (1986) et le livre Pique nique au bord du chemin (1972). Il emprunte au premier son contexte radioactif, et au second ses artefacts étranges, ses anomalies mortelles, et surtout le terme « stalker ». Ce qui donne un terrain de jeu immense, dont le lore fascinant et mystérieux constitue un véritable atout. La Zone est un endroit étrange et dangereux où la mort guette à chaque instant.
Le joueur devra se méfier de l’environnement, ainsi que des attaques aléatoires de bandits et de mutants. Il devra aussi déjouer les anomalies pour en extraire des artefacts aussi utiles qu’inestimables. Le titre est punitif, même dans sa difficulté la plus basse, ce qui a toujours été une marque de fabrique de la série. Et la rapproche un peu d’une simulation. Il suffira souvent d’être à découvert quelques instants pour se faire trouer la peau par une patrouille ennemie qui passait par là. Où de mettre le pied où il ne fallait pas pour être soulevé de plusieurs mètres avant d’être démembré par une force inconnue.





A l’instar de ses aînées, Heart of Chornobyl se distingue par une ambiance et une atmosphère extrêmement prenantes. Les paysages désolés baignent dans des effets météos de toute beauté où la pluie, les tempêtes et les orages sont monnaie courante. Le sound design n’est pas en reste avec des nappes éthérées qui ne font que sublimer le sentiment de mystère et d’inconfort. La Zone semble vivante, et en devient presque le personnage principal de l’aventure.
Mais l’action ne se déroule pas qu’à l’extérieur. Il sera souvent question d’explorer des bases souterraines. C’est ici que le titre devient un « survival horror » avec ses couloirs sombres et étroits, sa pénombre constante et ses mutants difformes aux pouvoirs surnaturels. Le jeu devient alors plus oppressant que jamais. Un délice.
Le système A-life a toujours été l’une des composantes de la franchise. Il permet en effet de simuler la vie et la routine de chaque PNJ. Si la mécanique semble avoir été désactivée pour la sortie de Heart of Chornobyl, elle fait graduellement son retour. Et transcende littéralement l’expérience : la Zone est plus imprévisible que jamais, pour le meilleur et pour le pire. J’en veux pour exemple cet instant nocturne où j’approchais d’une ruine, avant de me faire canarder par des membres du Monolithe. En sous effectif, chargé ras la gueule de loot, j’essaie tant bien que mal d’éviter les tirs et de me mettre à couvert. Je jette un coup d’œil et je suis les faisceaux des lampes avant d’appuyer sur la détente. C’est peine perdue dans le noir total. Je me cache et j’attends. J’entends soudain des cris et des tirs. Mon compas m’indique que toute menace a disparu. Je sors timidement de ma cachette et m’approche à pas de loup. Emergent alors des buissons deux membres du Devoir, armés jusqu’aux dents, me saluant d’un cordial « priviat ». Rien de tout cela n’était scripté, et c’est ce qui rend le titre encore plus génial.





Sur une configuration moyenne, le jeu est loin d’être le désastre annoncé par certains. Sans compter qu’en à peine 3 semaines, le titre a déjà reçu pas loin de 3 patchs majeurs appliquant des centaines de correctifs. Avec un Ryzen 7 5800x, une RXT 4060 et 16gb de ram, le titre maintient un framerate constant aux alentours de 50 fps. Les puristes hurleront au downgrade. Les autres se contenteront d’un jeu visuellement dans la norme et qui se distingue par une direction artistique et une approche unique. Et dont la sortie est un petit miracle vidéoludique.
Heart of Chornobyl est tout ce qu’on attendait. Un jeu singulier, exigeant et immersif, dans la lignée de ses aînés. On lui pardonnera volontiers une introduction poussive, une histoire un peu confuse et des finitions approximatives. Le titre de GSC ne parlera sans doute pas à tout le monde, mais ceux qui se laisseront séduire ne le lâcheront pas de si tôt. Sans compter que le studio suit son poulain de très près avec la promesse de MAJ régulières et d’un mode multijoueur. Vous l’aurez sans doute compris, j’ai d’ores et déjà mon GOTY 2024.
Test réalisé par Florian

Des jeux vidéo pour les gamers en culotte courte, c’est toujours essentiel dans le monde du jeu vidéo. Il en faut pour tous les âges et pour éviter certaines dérives, c’est toujours essentiel de proposer des jeux adaptés aux enfants. C’est le cas de Petit Island, qui pourra quand même contenter les plus vieux je vous rassure, un jeu signé Soedesco et Xelo Games, testé ici sur Nintendo Switch…
Petit Island c’est une île paradisiaque sur laquelle vous allez vivres des aventures dans la jeunesse de votre papy (enfin celui de Lily, une chatte, notre personnage). Le gameplay est orienté exploration avec notamment la possibilité de prendre des photos de tout ce que vous voyez. On l’a déjà vu dans d’autres jeux comme Tchia par exemple.






Dès les premières secondes on sent cet univers enfantin avec des couleurs vives et un style Ghibli qui fait mouche. L’importance des photos s’inscrit dans la progression de Lily à la poursuite des souvenirs de son grand-père pour recomposer le puzzle de son histoire. Tout cela grâce à son journal…
L’environnement de Petit Island n’est pas immense mais il est dense et propose surtout un monde ouvert aux suscite ce besoin d’exploration et c’est très agréable. On croise de nombreux personnages et autres créatures pour un univers vivant et intéractif. On peut prendre part à diverses activités comme la pêche ou l’observation d’insectes avec en plus des mini-jeux bien sentis.

Avec pas mal de choses à collecter, l’histoire est assez courte mais chacun pourra choisir de prendre son temps avec des moments de contemplations. Entre l’exploration, les photos, les puzzles et autres activités, il y a de quoi varier les plaisir même si on constatera quelques redondances…
Ne cherchez pas un jeu ultra-complet offrant des défis exigeants. Petit Island est bien un jeu à réserver aux plus jeunes qui pourront découvrir un univers interactif agréable et attachant avec un gameplay à l’approche facile. On ne demande pas beaucoup plus à ce genre de jeu. Graphiquement le jeu est très agréable et la musique apporte un plus indéniable pour dépayser les joueurs. Une belle surprise qui fait toujours plaisir.

Un p’tit unboxing? Ça faisait longtemps… A l’heure du dématérialisé c’est toujours sympa. Et cet unboxing est assez costaud puisqu’il s’agit de l’édition collector de Indiana Jones et le Cercle Ancien sur Xbox Series, le dernier jeu vidéo signé Bethesda qui met à l’honneur le plus célèbre des aventuriers!
On parlera du jeu plus tard via un test complet. Attardons-nous sur cette GROSSE boite… Déjà, le packaging est top avec un semblant de malle en cuir avec tous ces petits stickers invitant au voyage.

A l’intérieur, on trouve un superbe steelbook qui… ne contient pas de jeu… enfin si… enfin, pas de galette ici mais la relique Faiseur du tout à l’arrière de laquelle le code pour télécharger le jeu est inscrite.




Mais cette grosse boite est grosse car elle contient une pièce maitresse, un globe terrestre Cercle Ancien de 29 cm dans le pur look Indiana Jones avec une structure en bois et une carte du monde retro avec la fameuse ligne rouge qui symbolise les voyages de notre aventurier dans les films.
Parait-il que ce globe s’ouvre… mais savez-vous comment? Je vous laisserai chercher si jamais vous achetez ce collector. Sachez juste que le petit avion en métal fourni est magnétique…



Dans le globe on trouve un joli carnet dit « journal d’aventure » avec un gentil message de Marion. Mais ça reste un carnet vierge…


Les autres réjouissances sont numériques avec un DLC narratif L’Ordre des Géants, un artbook numérique et la tenue du Temple Maudit pour Indy.
Perso j’aurais aimé une support physique du jeu dans ce collector ainsi qu’un carnet avec des infos ou bien un artbook physique. Le globe terrestre reste incroyable avec son système d’ouverture caché et sa finition.
Passons au jeu maintenant!!!